Adèle Exarchopoulous : présentation et photos de l’actrice française

Adèle Exarchopoulous est une célèbre actrice française, révélée par le film « La Vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche » en mai 2013. Elle a reçu le César du meilleur espoir féminin pendant la 39e cérémonie des César.

Qui est Adèle Exarchopoulous ?

Née le 22 novembre 1993 à Paris, d’un père professeur de guitare et d’une mère infirmière, Adèle a grandi à Clichy puis à Paris ou elle a pris des cours de théâtre entre 2001 et 2005. C’est dans la rue, lors de la promotion d’un spectacle de sa troupe, qu’elle suscite pour la première fois l’intérêt d’un agent artistique. Parallèlement, elle est scolarisée au collège Condorcet, où elle obtient son brevet.

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Elle termine ainsi ses études au lycée Racine ou elle va rater son baccalauréat. Suite à cet échec, elle décide de choisir les chemins des castings. En 2005, Adèle obtient un rôle dans le moyen-métrage «Martha » de Jean-Charles Hue.

Révélation et reconnaissance critique

Adèle Exarchopoulous est repérée en 2006 par Denis Planat. Celui-ci l’a fait entamer sa carrière télévisée dans « RIS Police scientifique ». Ensuite, elle jouera dans « Boxes » de Jane Birkin en 2006. Puis, « Les Enfants de Timpelbach » de Nicolas Bary en 2007, « Tête de turc » de Pascal Elbé en 2009, « La Rafle de Roselyne Bosch » en 2010, « Chez Gino » de Samuel Benchetrit en 2011, « Carré blanc » de Jean-Baptiste Leonetti, « Des morceaux de moi » de Nolwenn Lemesle en 2013 ; et finalement « La Vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche ». Le succès critique de ce dernier film la rend célèbre dans le monde, si bien qu’elle reçu la Palme d’or du Festival de Cannes.

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Adèle Exarchopoulos

Son travail depuis 2014

Adèle Exarchopoulos affirme son talent avec deux projets inédits dont le drame ‘‘Qui vive’’ de Marianne Tardieu, où elle joue une institutrice prodiguant de l’espoir à un vigile, et le drame franco-russe ‘‘Voyage vers la mère’’ de Mikhaïl Kossyrev-Nesterov, où elle est une Française à la recherche de son demi-frère russe. En 2015, elle apparaît aux côtés de Tahar Rahim sur l’affiche du drame ‘‘Les Anarchistes’’ d’Elie Wajeman, et joue également aux côtés de Jérémie Laheurte dans ‘‘Apnée’’, un clip réalisé par Louis de Caunes.

En 2016, Adèle connaît quelques déceptions, initialement le drame ‘‘Éperdument’’, de Pierre Godeau où elle est opposée à un autre « césarisé », Guillaume Gallienne. Puis, le drame américain ‘‘The Last Face’’, réalisé par Sean Penn. Ce qui lui a permis de côtoyer Javier Bardem et Charlize Theron, même comme son accueil fut catastrophique au Festival de Cannes.

En 2017, elle partage l’affiche du film ‘‘Orpheline’’ d’Arnaud des Pallières, avec Adèle Haenel, où elle incarne le rôle de Solène Rigot et Véga Cuzytek, l’héroïne à des âges distincts. Enfin, elle figure aux côtés de Matthias Schoenaerts dans le drame ’’Le Fidèle’’, co-écrit et réalisé par Michaël R. Roskam.

En juin 2016, elle fait la couverture de Vogue Russia. Elle a posé pour Patrick Demarchelier, et regagne le festival de Cannes 2019 grâce au thriller Sibyl ou elle représente une actrice obsédant sa psy, interprétée par Virginie Efira (détentrice du rôle-titre). En 2020, pour la première fois, Adèle essaye la comédie en jouant dans ’’Mandibules ’’ du réalisateur Quentin Dupieux, dont l’avant-première est présentée à l’édition 2020 de la Mostra de Venise.